Face à l’accélération des dégradations sociales et écologiques et aux montées de l’extrême droite sur tous les continents, il est urgent de construire une alternative faisant rupture avec les replis xénophobes, avec le déni climatique et écocidaire et avec la domination des intérêts financiers sur l’intérêt général.
L’association « Démocratie sociale écologique » propose de travailler avec les différentes organisations citoyennes, syndicales et politiques concernées, en vue de préparer un changement de système économique et institutionnel à la hauteur des défis que nous allons devoir relever durant les prochaines années et décennies.
Nous inspirant du « programme des jours heureux » de 1945, prolongeant le programme partagé de la NUPES et souhaitant relancer la dynamique unitaire créée en 2022, avec et au-delà des partis, il nous semble possible d’ouvrir ensemble la voie à ce changement de cap salutaire, porteur d’espoir et pouvant répondre aux enjeux vitaux de notre temps.
En référence à la « théorie du Donut » de Kate Raworth et aux conquis sociaux du « Conseil National de la Résistance », notre association propose comme objectif de mobilisation citoyenne et politique, la construction d’espaces écologiques, sociaux, solidaires et démocratiques à l’échelle de tous les territoires. Cet objectif pourrait devenir un axe de rassemblement des forces sociales et écologistes du local au national en vue des élections municipales de 2026, puis des élections législatives et présidentielles de 2027.
Nous proposons d’organiser ces espaces autour des quatre axes suivants :
1. la garantie d’un « plancher social » par l’élargissement des droits répondant aux besoins essentiels de toutes et tous, avec la reprise en main des services publics et de la Sécu dans la perspective d’une Sécurité sociale écologique universelle,
2. le respect d’un « plafond écologique » ramenant les activités sociales et économiques nécessaires sous le seuil des limites planétaires,
3. l’organisation et la planification écologique et sociale de cette économie du bien commun, sur la base du conventionnement démocratique dans l’espace ainsi délimité,
4. l’implication de la population dans les processus de décision et de gestion des institutions et des structures mises en œuvre pour y parvenir.
Une synthèse est présentée dans cette vidéo de 12 mns : https://youtu.be/0WbqLZNtgSI
Les détails sur nos propositions et nos publications sont sur le site : www.democratie-sociale-ecologique.fr
Souhaitant travailler sur ces sujets avec toutes les personnes et les organisations qui le souhaitent,
nous proposons de vous rencontrer pour échanger et envisager cela avec vous.